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2018, DÉPART EN PUISSANCE

Feux rouges : tous positionnés sur la grille de départ, accélération des moteurs en puissance et adrénaline poussée à son paroxysme. Feux verts : décollage des monoplaces dans un crissement, à la fois insoutenable et plaisant, des pneus contre le bitume du circuit. Ce spectacle unique se tient prêt à faire son grand retour, dans une version 2.018. En attendant impatiemment le 25 mars prochain pour assister au premier départ de la saison, les prédictions vont bon train. Largement devancé par le britannique Lewis Hamilton la saison passée, Sebastian Vettel est bien résolu à faire triompher la Scuderia Ferrari devant l'écurie Mercedes.



Vettel, bonne année pour gagner ?


Le trophée ultime n'est pas venu rendre visite au quadruple champion du monde depuis 2013. Après Lewis Hamilton en 2014, 2015, Nico Rosberg en 2016 et une fois de plus le britannique en 2017, Sebastian Vettel souhaite voir sa chance tourner en 2018. Ferrari-Mercedes, une opposition toujours tendue, qui se joue au détail. En même titre que Lewis Hamilton, l'écurie Mercedes domine les autres constructeurs mondiaux depuis plusieurs saisons. Une situation qu'espère rattraper Ferrari ainsi que son pilote phare : "Tout le monde va tout donner pendant l'hiver. Je crois que nous avons ce qu'il faut. Tout recommence en 2018, donc nous verrons", annonce Sebastian Vettel. Les technologies mécaniques ne cessent de s'améliorer, les monoplaces sont de plus en plus performantes, battre le leader actuel demande donc une justesse de prestation qui ne donne aucun droit à l'erreur. En solutionnant les problèmes mécaniques rencontrés par la Scuderia, Sebastian Vettel pourrait être une véritable menace pour Lewis Hamilton en 2018. Quadruples champions du monde tous les deux, la saison s'annonce chaotique. Objectif commun : le cinquième trophée.




Red Bull donne des ailes


Ils font bien la paire ; à la fois rivaux et partenaires d'écurie, Daniel Ricciardo et Max Verstappen étonnent de saison en saison. Respectivement à la 5ème et 6ème place du classement final des pilotes, Red Bull parvient donc à se hisser à la troisième place du classement constructeur, derrière Ferrari. Des positions qui en disent long sur l'avenir de cette écurie en Formule 1. Après avoir été premier des constructeurs entre 2010 et 2013, l'écurie Red Bull Racing revient à la charge face aux deux grands leaders pour cette nouvelle saison. Longtemps joué entre Sebastian Vettel, Lewis Hamilton et Nico Rosberg, le championnat est bel et bien relancé après l'éclosion de nouveaux talents. L'australien Ricciardo ne cesse de monter au fil des saisons, tandis que son coéquipier brille à seulement 20 ans. Max Verstappen est fin prêt à devenir une figure incontournable de F1. Avec 11 podiums au compteur, l'avenir très prometteur du jeune néerlandais a de quoi menacer les plus grands.



Impossible n'est pas français


D'autres pilotes tout aussi talentueux, commencent à marquer leur territoire sur les circuits de Formule 1. Mais ceux-ci ont une particularité : la drapeau tricolore, bleu blanc rouge. Les français ont longtemps été mis à l'écart par des performances moyennes et peu suffisantes du pilote Romain GrosJean, à l'écurie Haas depuis une saison. Aujourd'hui, la France peut également reposer ses attentes sur Esteban Ocon, jeune pilote de 21 ans à l'écurie Force India depuis 2017. Pour sa première saison, le jeune espoir termine finalement 8ème au classement général des pilotes. Une position très prometteuse qui amène une confiance supplémentaire pour la saison à venir. Un autre frenchy du même âge va finalement faire ses grands débuts en 2018 avec Toro Rosso : Pierre Gasly. Remplaçant du russe Daniil Kyat, le jeune français a désormais l'entière possibilité de prouver son talent tout au long de cette prochaine saison.



Réponse le 25 mars 2018, au Grand Prix d'Australie...



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